Hello! moi c'est Jeremy MacAllister, mais tout le monde me nomme Jerem. J'ai vu le jour le 25 mars 1982 à détroit. J'ai donc 32 ans. Il se trouve que je suis hétéro et marié. Pour gagner ma vie je suis directeur et propriétaire du centre commercial. Je fais partie des freeway of love. Il paraît que je ressemble énormément à Daniel Gillies. Et je remercie shiya pour les images de mon joli visage. → CARACTÈRE Faut dire que Jeremy peut sembler être le genre de mec qui vante sa vie: beau gosse, riche et marié. En fait, il a beau être toutes ces choses, mais cela ne fait pas de lui un vantard. Sa vie est comme on peut dire "parfaite" et il ne serait pas quoi faire si ce n'était pas le cas, mais il sait que dans la vie, vaut mieux se la fermer parfois. Le beau blond est un homme confiant qui garde son sérieux - un peu trop parfois. Disons qu'il ne parle pas pour rien. Cela ne veut pas dire qu'avec lui c'est l'emmerde h24. Non non, il sait s'amuser comme tout le monde. Par contre, il est plutôt réservé. Entre une grosse fiesta et rester chez lui, sa maison lui semble être le meilleur endroit. Jeremy a du mal à montrer ses émotions, sauf s'il veut vraiment quelque chose. C'est sûr qu'avec sa femme, il est romantique et attentionné, mais quand ça va mal, il garde pour lui. Se voiler le visage et faire comme si tout allait bien. Il lui arrive parfois de se fâcher, ce qui est normal, mais normalement, il encaisse. Ayant élevé son frère et sa sœur, suite à la mort de leurs parents, il a appris à être mature et s'est vite adapté à ce mode de vie et toutes les responsabilités qui venaient avec. → INFORMATIONS Jeremy est un caféolique, ou peu importe comment ça se nomme. Il est rare que l'on ne le voit pas avec une tasse de café à la main. Vu les dettes du sommeil qui s'accumulent, faut bien trouver une solution pour lutter contre. Vaut mieux être un accro de la caféine qu'un drogué - même si techniquement le café est une drogue. Il a la manie de nommer les sortes de voitures quand il en voit des rares, étant un très grand connaisseur dans le domaine, il en est fier. Il ne rate aucun match de foot à la télé et même s'il vit au Brésil, son équipe préférée restera toujours FC Barcelona. Disons qu'il vénère Lionel Messi. Il a enfin réussi à adopter un chiot chow-chow qui se nomme Arcanine. Comme le Pokémon, oui oui! Faut dire que malgré son côté sérieux, au fond de lui se cache le petit garçon qui connait tous les 150 premiers Pokémon par coeur, même leur numéro.

→ QUE REPRESENTE L'AMOUR POUR VOUS ? À mes yeux, l'amour est important. Aimer et être aimer, voilà le remède de la vie. On vit de ça et même si certains ne veulent pas l'admettre, on veut tous trouver l'amour. Pour mon cas, j'ai trouvé l'amour de ma vie et je ne la laisserai jamais partir. Ce lien est si spécial et elle fait partie de moi maintenant. → ROCK, BLUES, GOSPEL, RNB... QUEL GENRE ETEZ VOUS ? Je dirais plutôt que je suis classique. Doux comme leur mélodie, mais il m'arrive parfois d'être intense. Tout comme les symphonie on le don de l'être. Sinon, comme musique, je varie un peu, mais j'ai un petit faible pour le country, mais pas celui de la ferme. Lady Antebellum, Phillip Phillip par exemple. → VOUS VENEZ DE VOUS FAIRE LARGUER. UNE REACTION ? Honnêtement, je pleure... J'ai beau être un mec et avoir une fierté, je ne pourrais pas me retenir. Quand on perd l'amour de sa vie, c'est comme perdre une partie de ton coeur. Oui, l'amour peut se retrouver, mais ce n'est jamais pareil... → POUR UNE PERSONNE, JUSQU’OÙ IRAIT VOUS ? Pour ma famille, je suis prêt à tout pour eux. Avec mon frère et ma soeur, je me sens souvent même comme leur père. Pour ma femme, j'irais au bout du monde pour elle. Oui, j'aime ma famille, mais avec elle c'est différent. Ce n'est pas que de la simple amour. C'est de la passion, de la tendresse, de l'amour à son état pure. Donc, pour la garder près de moi, je dois faire tout mon possible.   → SI L'AMOUR SERAIT UNE CHANSON... Tenerife Sea - Ed Sheeran

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<span class="pris">DANIEL GILLIES</span> ⊱ jeremy macallister

Le monde dans lequel je vis présentement est tout sauf celui dans lequel je vivais auparavant. C'est parfois dur de croire qu'une famille riche puisse avoir un jour vécu dans la misère. On voit souvent des gens les pointer du doigt en disant : « Les riches comprennent pas ce qu'on vit. » Pas faux - pour certains cas. Par contre, ce n'est pas comme ça pour tout le monde. Je suis né à Détroit, une des villes les plus dangereuses en Amérique. À ce moment-là, nous n'étions pas les plus riches. Nous vivions dans un petit quatre pièces et je devais partager ma petite chambre avec mon frère. Je peux vous dire que dans ma jeunesse, j'en ai vu des trucs se passer et faut dire que ce ne sont pas des trucs dont j'aime bien me souvenir. Je ne sais pas si vous le savez, mais les statistiques de Détroit sont très élevés, mais pas pour les bonnes choses. Le taux de criminalité est quasiment le haut aux US, ainsi que le taux de pauvreté. Circuler dans les rues à une heure tardive, c'est du suicide, je vous jure. Ma mère était une bonne dans un hôtel miteux, tandis que mon père... En fait, je ne savais pas vraiment ce qu'il faisait comme boulot. Ça devait avoir rapport avec les affaires ou un truc du genre. J'entendais souvent mes parents se disputer la nuit à propos de ce que faisait mon vieux et en tant que petit garçon curieux, j'écoutais attentivement toute leur conversation à la recherche de réponse. Pourquoi s'engueuler? Avait-il fait quelque chose de mal? Tout ce que je sais, c'est qu'il n'arrêtait pas de dire à mon frère et moi que tout allait s'arranger. Qu'un jour, nous allions vivre une vie de rêve... J'étais trop jeune pour comprendre que la vie n'était pas facile. Je voyais que de la pauvreté autour de moi, donc c'était normal quoi! Pendant ce temps, je vivais une vie normale pour un garçon de mon âge. J'allais à l'école, j'avais des devoirs, des amis...

J'avais neuf ans quand mon père nous annonça notre déménagement. D'ailleurs, je n'avais pas vraiment compris ce changement de plan soudain. Mes parents étaient souvent impulsif, mais au point de changer de ville ? Malgré notre vie de pauvres, on était bien en Amérique. Du moins, je le vivais bien, mais encore une fois, j'étais jeune. Était-ce ça notre vie de rêve que mon père parlait? En tout cas, là-bas, mes parents semblaient plus heureux. Enfin, je ne les entendais plus se disputer. Ma mère était enceinte à notre arrivée à Memphis et quelques mois plus tard, une petite fille vint au monde. Notre première petite sœur. Jouer le grand frère protecteur semblait cool, mais comme deuxième gosse de la famille, j'avais eu le droit au petit Nathaniel. Déjà plus jeune, il avait un caractère, pas besoin de le protéger celui-là. Memphis était donc un nouveau départ pour les MacAllister et ils embrassaient leur nouvelle vie à pleine joie!

Tout se passait bien, jusqu'à mes dix-huit ans. Pour moi, le lycée s'était bien passé : Beau, sportif et intelligent. Je ne pouvais pas passer inaperçu quand même. J'avais reçu une bourse pour l'université et j'allais être en marketing, mais un événement tragique se produit. La mort de mes parents. Un accident de voiture... Étant le seul adulte restant de la famille, j'étais maintenant en charge de Nate et Cass. Honnêtement, ce n'était pas facile. Surtout avec son frère qui faisait carrément n'importe quoi. C'est alors qu'un jour, je nettoyais la chambre de mes parents, étant donné que depuis leur mort, je n'y avais plus remis les pieds. J'avais trouvé un coffre-fort sous leur lit, ce qui n'était pas une très bonne cachette à vrai dire. Curieux, j'avais passé une bonne heure à tenter de l'ouvrir pour finalement y parvenir avec les dates de fête de ma soeur, mon frère et moi. Ce qui se trouva à l'intérieur me choqua. Enfin, je savais que ce coffre cachait de l'argent, mais si j'avais su combien... Honnêtement, je n'avais même pas tout compter étant donné qu'il y en avait trop et qu'au bout d'un moment, je me perdais dans mes chiffres. De plus, une lettre accompagnait l'argent. Elle était adressé à nous, les enfants. Cependant, je gardais ce bout de papier qui expliquait ce que mes parents avaient fait pour avoir tous ses billets. Mon père avait fait des choses dont il n'était pas fier, mais tout ce qu'il avait voulu était de nous offrir une belle vie. Je ne pouvais pas lui en vouloir non plus. Dans sa lettre, il avait demandé d'utiliser l'argent avec soin. En gardant cela un secret, je n'étais pas égoïste. Je le faisais pour le bien de la famille. Qui sait ce que les deux autres en ferait de cette argent. Faut dire que j'avais un peu peur. C'était de l'argent sale qui provenait de je-ne-sais-où.

Le centre commercial était à vendre à ce moment et j'avais proposé une somme pour le racheter et heureusement, j'avais la plus haute mise. J'étais maintenant, le nouveau propriétaire du centre d'achats. Cela donna à mon frère et ma soeur un petit boulot pendant leur étude. C'est alors qu'un jour, je fis la rencontre d'une rouquine qui dès la première rencontre m'avait fait tomber sous son charme. Elle n'avait rien fait pour y arriver, c'était naturel. Love at first sight comme on dit. Elle m'intriguait et je pouvais passer des journées à la regarder sans me tanner. En même temps, on ne peut pas s'empêcher de regarder quand on voit de belles choses - ou dans ce cas-ci, de belles personnes. Je me sentais comme un adolescent qui essayait de se faire remarquer par la plus belle fille du lycée. Je me trouvais toujours des raisons pour aller lui adresser la parole, mais je ne voulais pas que mon intérêt pour elle semble trop évident. Donc, je parlais boulot. En même temps, je ne la connaissais pas beaucoup, alors trouver un sujet de conversation était plus délicat quoi. Je n'allais quand même pas me mettre à parler des poissons rouges. De quoi avoir l'air débile. Faire les premiers pas avec les femmes n'était pas mon fort, c'était plutôt le contraire habituellement. Pas pour me vanter, mais les femmes perdent souvent leur moyen devant les beaux gosses. Par contre, ce genre de femme, on les garde pour une nuit. Ce n'est pas mon genre, mais une fois de temps en temps ne fait pas de mal. Aurora était différente. Douce, tranquille, gentille. Ce n'était pas une de ses désespérées qui cherchent l'amour à chaque coin de rue. Cela me prit quelques semaines avant d'avoir le courage de l'inviter à sortir et vu sa réaction, elle ne l'avait pas venue venir. Même qu'elle avait pensé se faire virer! Avais-je été méchant avec elle? Peut-être que jouer le mec indifférent n'avait pas été la meilleure solution. Bref, elle avait accepté et notre histoire d'amour débuta suite à ce rendez-vous.

Nous nous sommes mis ensemble après plusieurs mois de fréquentation. Nous avions pris notre temps et je ne le regrettais pas. J'étais amoureux de cette fille, alors ensemble ou pas, tant que mes moments se passent avec elle, j'étais heureux. Cela faisait un bon moment que je ne m'étais pas aussi bien senti avec une personne, sa présence était devenue comme une drogue. Après quelques mois, je lui avais déjà proposé de venir s'installer chez moi. Même s'il y avait ma soeur, ce n'est pas comme si elle était dérangeante. Disons que l'arrivée de mon frère était ce qui me tracassait le plus. Je le connaissais très bien et je savais qu'il n'était pas un cadeau. J'avais peur qu'il ne s'entende pas bien avec ma soeur, mais au final, je m'étais inquiété pour rien. Ce n'était pas le grand amour entre eux, mais au moins, il pouvait rester dans la même pièce.

Voici l'histoire de ma vie! Pour ce qui est de maintenant, je suis marié à la femme que j'aime et je suis toujours propriétaire du centre commercial. Ma vie est "parfaite" si je peux me permettre de le dire. Enfin, de mon point de vue...